Pendant la conférence de la rédaction du matin (où sont présents la rédactrice en chef ainsi que les chefs de services) le sommaire de l’édition suivante est précédé par une évaluation critique de la précédente.

Cette évaluation est faite par un rédacteur à tour de rôle, et parfois par des visiteurs invités.

Les journaux télévisés sont régulièrement disséqués en rédaction après leur diffusion.

Les retours se font également pendant les réunions du ZDF-Fernsehrat (Conseil de télévision).

Les retours sur le journal de la veille se font quotidiennement au cours de la conférence de rédaction du matin. Il n’existe donc pas de moment spécifique consacré à l’analyse critique. De Standaard possède une profonde culture de communication et les journalistes s’expriment beaucoup, sans avoir besoin de cadre formel.

La conférence de rédaction commence à 10 h par un débriefing du journal de la veille, en présence des rédacteurs en chef et des chefs de service. Tous les journalistes peuvent y participer.

La réunion de rédaction, tous les matins à 10h30, permet un débriefing du journal de la veille. Y sont présents la rédaction en chef ainsi que l’ensemble des chefs de service. Reste qu’il semble que le temps imparti aux questions de déontologie ne cesse de se rétrécir face aux impératifs de production.

Les cadreurs, réalisateurs, monteurs et journalistes ont théoriquement tous la possibilité d’assister à la conférence critique hebdomadaire qui dure environ deux heures.

Toutes les 6 semaines, la direction de l’information organise avec le service juridique les « midis de la déontologie » auxquels sont conviées des personnes « extérieures » à la RTBF : universitaires, avocats spécialisés dans le droit des médias… Exemples de thématiques : Le « off », le droit à l’image….

Revue critique quotidienne du journal par la médiatrice.

Chaque semaine un Conseil éditorial se réunit pour évaluer les résultats du journal en termes de données économiques mais aussi au niveau de la qualité journalistique. Le principal objectif étant toujours de répondre à la fois aux missions et aux valeurs du journal.

Tous les 2 ou 3 jours le journal diffuse à l’ensemble de la rédaction un bulletin d’analyse critique du matériel publié, pointant les erreurs et proposant des corrections si nécessaire.

Le journal s’appuie également sur un consultant éditorial chargé de l’analyse du contenu de la publication. Il propose des suggestions à la rédaction, depuis la conception du chemin de fer jusqu’à la validation de nouveaux produits dans le but d’améliorer la qualité de l’information.

Outre le Conseil éditorial, le journal étudie un projet de création d’un Conseil de lecteurs.

Réalisé par le « Conseil d’évaluation éditoriale », le retour critique sur la production journalistique de la semaine précédente fait l’objet d’une réunion hebdomadaire (le mardi). Se mettant à la place du lecteur, le Conseil produit des rapports avec notation de -5 à +5, il pointe les problèmes et propose des solutions. Cette évaluation est toujours réalisée au regard des journaux concurrents : Folha de São Paulo et Globo.

La critique revient à la rédaction en chef du reportage. Exceptionnellement, des questions très sensibles peuvent être discutées avec l’ensemble de la rédaction.

Le Conseil de Fondation Padre Anchieta, propriétaire de la chaine est composé de 47 personnes qui se réunissent une fois par mois et s’expriment sur la couverture des informations. Le Journal de TV Cultura a toujours reçu des avis positifs du Conseil, tout comme le programme Matéria de Capa (Matière de Une), qui traite de sujets internationaux et est diffusé à 19h tous les dimanches.

Des réunions d’évaluation/critique sont organisées pour chaque journal télévisé qui évaluent la production de la veille. Éditeurs en chef, chefs de rédaction, responsables de rubriques et journalistes y participent, mais pas les reporters ni les cameramen puisqu’ils sont sur le terrain.

Pour couvrir des événements importants (cf le chaos dans lequel s’est retrouvé la majorité des villes de l’État de São Paulo après les fortes précipitations qui ont entraîné inondations, pannes, accidents, décès…), la production journalistique est systématiquement validée par les rédacteurs en chef et par la direction du journalisme de TV TEM.

Trois conférences de rédaction sont tenues chaque jour : à 10h pour l’édition en ligne, à 12h pour l’ensemble du journal El País, à 18h pour l’édition papier du lendemain matin. L’ensemble de la hiérarchie y participe puisque les mêmes rédacteurs en chef dirigent les deux rédactions : papier et en ligne. Ces réunions permettent un débat collectif quand nécessaire.

Les débats sur le travail journalistique après la publication d’une information importante se tiennent lors des réunions ordinaires du journal. Aucune personne extérieure au journal n’y participe.

Deux conférences de rédaction de presque une heure chacune se tiennent chaque jour. Le matin à 10h15 sont établis, toujours dans le même ordre : le squelette de l’information du jour, l’orientation éditoriale de l’édition suivante et aussi la critique des informations diffusées la veille. La conférence de l’après-midi, à 17h, est la plus importante. Y est décidé le contenu de l’information mais également comment les journalistes l’exprimeront à l’antenne le lendemain matin, entre 7h et 9h, à l’heure du prime time, représentant 50% de l’audience quotidienne.

Participent immanquablement à ces deux conférences, le directeur des contenus, le directeur de l’information, le directeur des programmes et l’ensemble des chefs de rubrique.

Une analyse critique de l’information diffusée la veille est réalisée chaque jour pendant la conférence de rédaction. Elle sert non seulement à évaluer le traitement réalisé mais est aussi nécessaire pour suivre ou faire évoluer les informations.

Chaque matin, une conférence de rédaction a lieu à 9 h 30. Par ailleurs, dans chaque service, un retour critique peut être effectué par le responsable et ses « troupes ». Néanmoins, un sentiment d’insatisfaction domine parfois au sein de la rédaction, qui juge insuffisant le nombre de ces retours au quotidien.

Une conférence critique est prévue après chaque édition. Elle réunit tous les professionnels ayant participé à l’élaboration du journal, y compris les monteurs et les infographistes. Il s’agit d’un débriefing éditorial mais aussi technique et opérationnel.

Le débriefing se fait donc en permanence avec beaucoup d’échanges en-dehors de la conférence de rédaction.

Le directeur de la chaîne et ses adjoints peuvent aussi organiser un débriefing spécifique suite à une émission spéciale.

La conférence de rédaction, deux fois par jour, dans chacune des rédactions de Radio France, est le lieu de ce bilan critique en interne. L’interactivité via l’antenne ou via les services de « relations auditeurs » favorise également ce retour critique. Le médiateur a par ailleurs créé un « site des auditeurs » baptisé Espace Public Radio France où les 14 millions d’auditeurs des radios du groupe peuvent s’exprimer sur l’offre éditoriale des antennes.

L’ambiance coopérative du quotidien permet des retours critiques sans avoir besoin d’espace spécifique. Ils peuvent se faire au détour d’un couloir ou pendant la réunion qui rassemble quotidiennement les rédacteurs en chef, juste avant la conférence de rédaction. Ils font partie de la culture-maison.

Pas de réunion critiques à proprement parler, les éventuels problèmes sont traités en conférences de rédaction ou évoqués par le médiateur.

Chaque matin, une conférence de rédaction se tient à 10h au siège, à Clermont-Ferrand. Elle dure près d’une heure et commence par l’analyse de ce qui a été fait ce jour-là. Le principe d’émulation prévaut, l’idée étant de repérer les bonnes idées dans chacune des 17 éditions locales. Par ailleurs, toutes les rédactions, même les plus petites (constituées de 3 journalistes), ont une réunion quotidienne.

Les retours se font de manière formelle, chaque lundi, département par département, et au coup par coup, tous les jours, aussi bien au siège à Tours que dans chaque agence départementale.

Les conférences de rédaction matinales reviennent systématiquement sur le journal de la veille .

Le travail critique se fait pendant les conférence de rédaction ou pendant les réunions du conseil de rédaction.

Des débriefings sont prévus pendant le « comité (conférence) de rédaction » du matin ou la réunion hebdomadaire des chefs de service avec le directeur de la rédaction.

Des débriefings sont prévus lors de la conférence de rédaction du midi, de la réunion de mise au point dans l’après midi et de la « réunion de calage » de 7h30.

Les difficultés sont abordées pendant les deux conférences, celle de 10h avec l’ensemble des chefs de pôle et celle de 17h avec les secrétaires de rédaction.

Les questions litigieuses peuvent être soulevées pendant les conférences de rédaction.

Les débriefings peuvent se faire lors de la conférence de rédaction du matin.

Des réunions critiques sont organisées quand le traitement ou l’ampleur de l’actualité le justifient (banlieues en 2005, présidentielles en 2007…). L’analyse du contenu peut alors être réalisée par une personne « légitime » et un débat s’instaure entre la rédaction et les journalistes, y compris ceux des rédactions régionales.

Les sujets traités à l’antenne sont évalués et débattus au fil des quatre conférences de rédaction qui ponctuent la journée. Un « débriefing » se fait également en continu, souvent de façon très informelle. Tout le monde se parle et le contrôle sur l’information s’exerce en temps réel.

Au niveau des agences locales, une réunion de débriefing est organisée de 9h30 à 10h chaque matin.

Au niveau central, le rédacteur en chef ou le chef de la rédaction animent à 9h30 un débriefing plus global. Les chefs de service y assistent, ainsi que le chef du service photo et un représentant de la documentation.

En conférence de rédaction, chaque matin. Par ailleurs, la rédactrice en chef fait le point avec chaque reporter avant que son sujet ne passe à l’antenne. Enfin, un débriefing est effectué après coup.

Après chaque journal de 13h ou de 20h, une conférence critique réunit tous les corps de métiers ayant participé à l’élaboration du journal, y compris les documentalistes et les infographistes (20 à 25 personnes en tout).

Le mercredi après-midi, la conférence de prévision animée par le directeur de la rédaction réunit l’ensemble des cadres.

Enfin le jeudi, la directrice de l’information anime le « Point Information » une réunion ouverte à tous les personnels de TF1 dans laquelle peuvent être abordés tous les sujets liés à l’information.

Le contenu du journal est minutieusement analysé en interne par les membres du conseil d’administration de la fondation, par le comité éditorial des journalistes pour tous les aspects concernant la déontologie, mais aussi en conférence de rédaction de façon systématique.

Il n’existe pas de moment spécifique de retour sur le traitement de l’information diffusée, l’évaluation se fait très régulièrement mais au fil de l’eau, dans les services et pendant les réunions de rédaction.

Tous les matins, une conférence critique est animée à 8h40 par Helen Boaden, la directrice de l’information ou par son adjoint. Une personne de chaque service doit y assister.

A 9h, une seconde réunion rassemble la strate inférieure de la hiérarchie, avec les producteurs d’émissions.

Quelqu’un du service de communication peut assister à ces réunions pour y relayer les réactions du public.

Tous les matins, le rédacteur en chef réunit les cadres éditoriaux - une quinzaine de personnes - pour une « conférence critique ».

A 10h, tous les journalistes peuvent assister à la conférence de rédaction animée par le rédacteur en chef.

La lecture critique du journal de la veille se fait systématiquement à la première conférence du matin.

Des débriefings sont prévus pendant la conférence de rédaction matinale qui comporte systématiquement une critique du journal de la veille. Peuvent également avoir lieu des retours ponctuels non formalisés lorsque le besoin s’en fait sentir.

La radio propose deux débriefings quotidiens après les éditions matinales (5h-8h30) et la tranche magazine d’actualité (18h à 19h).

En télévision, la conférence de rédaction revient sur le journal de la veille et une réunion hebdomadaire - ouverte à tous les journalistes - permet les échanges critiques.