Le papier provient principalement de Belgique.

Côté cantine, les légumes et fruits de saison sont privilégiés. Des produits biologiques sont utilisés quand l’offre du marché le permet.

La crise actuelle n’aide pas à mener à bien ce genre de projet. Il est clair que la qualité et le prix demeurent les critères dominants même si, sous l’influence en particulier du comité de sécurité et d’hygiène, à prix égal, un critère durable fera la différence.

Ce point fait partie d’une des missions que le journal veut mettre en place prochainement.

Le journal cherche à travailler avec des fournisseurs certifiés et à jour avec leurs obligations sociales et fiscales.

La question environnementale est largement prise en compte, par conséquent l’ensemble des fournisseurs est déjà engagé sur ces critères.

Et en particulier dans les appels d’offre pour les papetiers et imprimeurs.

Avec notamment le souci de rapatrier en France un maximum d’imprimeurs afin de raccourcir les circuits. Sans que les coûts deviennent prohibitifs à terme.

Pour les appels d’offres, des critères de choix des fournisseurs prenant en compte les indicateurs durables sont en train d’être formalisés.

France Télévisions travaille déjà avec des fournisseurs issus des secteurs « protégés » (salariés en réinsertion, travailleurs handicapés).

Le développement durable est l’un des critères systématiquement présent dans l’ensemble des appels d’offre du journal envers ses fournisseurs.

En particulier pour les papeteries fournissant le papier à l’imprimerie.

Le bilan carbone de TF1 inclut ses fournisseurs.

Le système « Ecovadis » permet d’évaluer la politique RSE des fournisseurs selon 21 critères environnementaux et de choisir les plus performants, à proposition financière équivalente. En septembre 2011, les 98 fournisseurs les plus importants (hors programmes) de TF1 avaient déjà été évalués par ce système.

Un plan d’action pour intégrer dans les procédures de sélection des fournisseurs des critères durables a été validé en 2011. Une campagne de communication à destination des fournisseurs va être lancée.

Pour la nourriture comme pour le reste, The Guardian privilégie les fournisseurs locaux.

Le respect des critères durables est imposé par la législation et les amendes en cas d’écart restent très dissuasives.

En l’absence de directive formelle, le critère « durable » est toutefois retenu dans les négociations.

Le journal recherche prioritairement des fournisseurs certifiés qualité.