Ouest France

Support média : Presse écrite, Internet

Périodicité : Quotidien

Diffusion géographique : Régionale

Zone géographique : France

Sous-titre : « Justice et liberté »

Site web : www.ouest-france.fr

Pays du siège : France

Ville : Rennes

Adresse : ZI Rennes Sud-Est, 10 rue du Breil, 35051 RENNES

Date de création : 7 août 1944

Propriétaire : « L’Association pour le soutien des principes de la démocratie humaniste »

Statut : SA

Président du directoire et directeur de la publication : François Régis Hutin

Directeur général et vice-président du directoire : Louis Echelard

Président du conseil de surveillance : David Guiraud

Vice-présidence du conseil de surveillance : Michel Camdessus

Directeur des rédactions et de l'information : Jean-Luc Évin

Rédacteur en chef : François-Xavier Lefranc

Rédacteur en chef adjoint : Jean-Bernard Cazalets

Directeur des rédactions départementales et locales : Philippe Boissonnat

Médiateur : Pas de médiateur

Quelques chiffres…

Détenteur du capital : SIPA - Ouest-France

Chiffre d’affaires : 300 847 207 euros en 2013

Part de la publicité : représente 42 % des produits bruts et environ 40% de l’espace du journal.

Diffusion : 742 514 exemplaires dont 725 323 payés (OJD 2013/2014)

Effectifs : 543 journalistes, 2 635 correspondants

Parution : Quotidien paraissant du lundi au samedi inclus et le dimanche sous format spécial ; 40 éditions locales différentes.

Unités de production : à Chantepie en Ille-et-Vilaine (5 rotatives) et à La Chevrolière en Loire-Atlantique (2 rotatives)

Zone de diffusion : 12 départements en Bretagne, Basse-Normandie et Pays de la Loire, ainsi qu’à Paris.

Publicité : Précom (filiale pour les annonceurs locaux et régionaux) et Com Quotidiens (filiale en association avec d’autres journaux) pour les annonceurs nationaux et pour les petites annonces extra-locales.

Historique :

Ouest France est créé juste après la seconde guerre mondiale, prenant la suite de Ouest Eclair, convaincu de collaboration. Il est avant tout le journal d’une famille, les Hutin, et d’un homme, son fondateur-PDG, François Régis. Celui-ci continue de rencontrer tous les journalistes au moment de leur embauche.

Le quotidien assume une tradition d’engagement autour de son slogan « justice et liberté ». Au fil du temps, il a clairement pris position contre la torture, pour les combats de l’abbé Pierre, pour l’Europe, pour l’Enseignement libre, pour l’amélioration de la vie en prison… La guerre d’Algérie et la bombe atomique en revanche n’ont pas fait l’objet de position consensuelle.

Ses valeurs « humanistes et civiques » font aujourd’hui davantage l’unanimité en interne que les valeurs « chrétiennes ».

Le journal se présente aujourd’hui comme le plus important quotidien francophone mondial en termes de diffusion.

A l’approche de son 70e anniversaire, le premier quotidien de France change de statut et sera désormais dirigé par un directoire et un conseil de surveillance.

Réponses complètes

1.1. – Code ou charte interne ? : Oui

« La Charte du faits divers » a été rédigée en juin 1990. Elle a ensuite été modifiée, la dernière version s’appelle simplement « les Chartes » et regroupe en particulier les engagements de traitement des faits divers et de la justice, les actions de partenariats (qui affirment l’indépendance de la rédaction par rapport aux 1500 partenariats annuels du journal), le traitement des photos, le fonctionnement du multimédia…

Au premier semestre 2009, ce classeur a été distribué à l’ensemble de la rédaction, avec un effort nouveau de communication interne.

Une version « grand public » est disponible en ligne depuis l’automne 2009.

1.2. – Quel contrôle de leur application ? : Non formalisé

2.1. – Société De Journalistes / Société De Rédacteurs ? : N’existe plus

Ouest-France avait créé en 1965 l’une des premières « sociétés de rédacteurs » en France. Elle a disparu en 1973.

Plusieurs tentatives d’associations de journalistes se sont succédé mais leurs rapports ont toujours été conflictuels avec la direction. Il n’en existe plus aucune pour l’instant.

2.2. – Retour critique sur la production journalistique ? : Non mais…

Des réunions critiques sont organisées quand le traitement ou l’ampleur de l’actualité le justifient (banlieues en 2005, présidentielles en 2007…). L’analyse du contenu peut alors être réalisée par une personne « légitime » et un débat s’instaure entre la rédaction et les journalistes, y compris ceux des rédactions régionales.

2.3. – Quels systèmes de recherche et de rectification des erreurs ? : Relecture par le « rédacteur en chef du jour »

Le rédacteur en chef du jour relit systématiquement tous les articles à paraître, après parfois un chef de service.

Chaque journaliste est en charge de la relation avec Ses lecteurs. Les signalements d’erreurs arrivent donc directement auprès des journalistes concernés. Elles font l’objet de rectifications ou de précisions.

3.1. – Quel lien entre valeurs du média et contenus publicitaires ? : Les valeurs du média avant tout

Une des spécificités de Ouest-France est que les principes énoncés dans ses chartes sont également appliqués à la publicité. Il est donc facile de vérifier les compatibilités et de refuser éventuellement une publicité sur des critères transparents et connus de tous.

3.2. – Quel arbitre en cas de litige ? : La rédaction en chef

La rédaction en chef peut s’opposer à la parution d’une publicité. Elle supervise clairement l’ensemble du contenu du journal. Pour garantir que les valeurs humanistes du quotidien seront respectées, la rédaction veillera même au libellé des avis d’obsèques, dont le contenu pose régulièrement problème.

3.3. – Quel cadre pour les parrainages et les partenariats éditoriaux ? : Une charte spécifique

Une charte des partenariats a été signée le 9 octobre 2006 par la direction et les syndicats (CFDT, SNJ). L’article 3 de cette charte précise que « les partenariats ne doivent en aucun cas engager l’indépendance de la rédaction ».

Les conventions de partenariat sont signées dans chaque département par le directeur de la rédaction concernée.

4.1. – Quelle gestion des voyages de presse et des journalistes « embarqués » ? : Peu fréquents et pas annoncés

Les offres de voyages de presse sont peu fréquentes. Quand le cas se présente, la rédaction en chef prend la décision de les accepter ou non.

Peut être acceptée la gratuité des voyages offerts par des agences de tourisme ou par les organisateurs d’événements sportifs particuliers tels que la voile ou l’automobile.

Peuvent également être acceptés des voyages pour une manifestation faisant l’objet d’une contribution du journal.

Il n’est pas précisé dans l’article qu’il s’agit d’un voyage de presse.

4.2. – Quelle résolution des conflits d’intérêt avec le propriétaire ? : Ne se pose pas

Le propriétaire du titre est un groupe spécialisé dans les médias.

4.3. – Quelle gestion des pressions politiques et économiques ? : Des réponses graduées

Ce sont surtout les journalistes des rédactions décentralisées et les correspondants locaux qui peuvent subir des tentatives de pression, beaucoup plus souvent politiques qu’économiques d’ailleurs.

Le fait que Ouest-France organise des formations de « relation avec la presse » dans les Chambres de commerce et d’industrie ou en entreprises, y est sans doute pour beaucoup.

Le directeur départemental et les chefs d’agence - qui ont systématiquement suivi une formation à la médiation - sont en première ligne pour défendre l’indépendance rédactionnelle. Les rédacteurs en chef de la Direction Générale n’interviennent qu’en dernier recours.

Les situations conflictuelles restent peu fréquentes mais touchent avant tout les correspondants, c’est pourquoi le quotidien projette de réactiver l’animation de son réseau.

Dans les grandes villes le rapport au notable est plutôt serein, mais plus difficile dans les petites locales. Globalement les incidents sont finalement rares parce que personne ne cherche à faire de vagues. Quant aux correspondants locaux de village, ils ont une liberté très mesurée mais ils sont « chouchoutés » par les rédactions car il est de plus en plus difficile de trouver des correspondants étant donné le bas niveau de rémunération.

4.4. – Quel traitement du fait divers ? : Une charte interne pionnière

Ouest-France a été le premier quotidien français à se doter d’une Charte du traitement du fait divers, en 1990.

Depuis lors, la question n’a cessé d’être réactualisée afin de maintenir des pratiques similaires et cohérentes dans les nombreuses rédactions délocalisées, pour éviter les procès et pour rester fidèle aux valeurs du journal.

4.5. – Quels critères de publication des photos / de diffusion des images tournées ? : Dignité de la personne avant tout

Ouest-France, au-delà des exigences de la loi, s’interdit la publication de toute photo d’une personne en situation humiliante ou dégradante, pour rester en harmonie avec les valeurs défendues par le journal.

4.6. – Quel traitement des photos ou vidéos amateurs ? : Non utilisées

4.7. – Quel statut pour les blogs de journalistes permanents ou pigistes ? : Réflexion en cours

Il est prévu qu’un groupe de travail rédige un code de bonne conduite sur les réseaux sociaux, qu’il s’agisse de la recherche de l’information ou des contributions des journalistes.

4.8. – Quelles conditions pour travailler « sous couverture » ? : Pratique proscrite

Le premier principe de la charte photo de Ouest France précise que les photos volées sont proscrites. Il est également interdit d’utiliser des « moyens déloyaux » pour obtenir une information.

5.1. – Poste de médiateur, quelle interface avec le public ? : Non

5.2. – Rubrique « Courrier des lecteurs » ? : Oui

Le Courrier des lecteurs bénéficie d’une place non négligeable grâce à une rubrique quotidienne en fin de journal. Une dizaine de messages arrivent tous les jours, c’est un rédacteur en chef adjoint qui prend en charge leur traitement.

5.3. – Quelle gestion du « Droit de réponse » ? : Un engagement formalisé

L’engagement est clair : « Toute demande de droit de réponse, qu’elle soit ou non exprimée dans les formes prévues par la loi, doit être accueillie avec politesse et attention. Ce n’est pas seulement l’exercice d’un droit du citoyen face au pouvoir de la presse, c’est aussi un moment important de la relation avec nos lecteurs. Notre image peut dépendre durablement de l’accueil fait à leur demande. Il faut donc toujours en discuter, non seulement avec eux mais aussi en interne et avant toute décision. Pour éviter les formes contraignantes prévues par la loi, on peut proposer des compromis qui donnent satisfaction au demandeur sans ouvrir nos colonnes à des formes d’expression incontrôlables : le rectificatif - s’il y a une erreur nous la corrigeons ; la précision - si une information manquait, nous la donnons ; l’expression - par le courrier des lecteurs et le forum… ; un complément rédactionnel différé - nous nous engageons à revenir sur le sujet au meilleur moment. »

Chaque demande de droit de réponse est soumise à deux regards : celui du service juridique et celui du directeur du département ou du rédacteur en chef.

Il se peut que la demande soit « légalement » rejetable mais que la rédaction estime l’information importante à donner. C’est elle qui aura le dernier mot.

Le nombre de demandes de droit de réponse est en baisse de la moitié depuis 20 ans, comme le reste des contentieux juridiques. Ce qui peut en partie être expliqué par le fait que tous les journalistes du quotidien ont reçu une formation minimale sur le droit de la presse.

5.4. – Visites du média ? : Oui

Organisation de visites du journal tous les soirs par des étudiants formés. Environ 30 000 visiteurs sont ainsi reçus chaque année.

Visites des deux sites d’impression possibles sur réservation.

5.5. – Des rencontres avec le public ? : Décentralisées sans politique d’entreprise.

Le journal ne s’est pas encore doté d’un espace centralisé de réception des critiques ou des plaintes en provenance des lecteurs de toute la région.

Ponctuellement des journées « portes ouvertes » sont organisées dans les rédactions décentralisées (exposition de photos …). Un espace de conférence à la rédaction locale de Rennes peut accueillir des rencontres thématiques. Mais toutes les initiatives reviennent aux directions locales et sans faire l’objet d’une politique globale.

François-Régis Hutin ou sa fille interviennent régulièrement devant des publics ciblés quand on leur en fait la demande.

Depuis 1968, 4 sociologues travaillent au bureau « recherche et développement ». Ce sont finalement eux qui organisent le plus et le mieux les échanges directs ou indirects entre les lecteurs et la rédaction.

Si aucun changement de formule ne s’est fait sans étude de lectorat préalable, le bureau accompagne avant tout et de près l’évolution du journal, ou d’une rubrique en particulier.

L’intention relève en priorité de la recherche sur la proximité du quotidien avec ses lecteurs dans le cadre de la mission publique qu’il s’est donnée, plutôt que du marketing à court terme.

Les relations journalistes/lecteurs/bureau de recherche servent donc à alimenter la réflexion sur la ligne éditoriale et les aménagements pratiques, sans que ne puisse primer le diktat : « le lecteur ne veut pas, donc on supprime… ».

5.6. – Coordonnées des journalistes à la disposition du public ? : Non mais

L’adresse mail de la rédaction locale concernée est publiée dans le journal papier.

5.7. – Quelle gestion des forums sur internet ? : NC

6.1. – Vers une imprimerie verte ? : Oui

Entre 1998 et 2001, une enquête d’utilité publique à été réalisée pour mettre l’entreprise en conformité aux normes : autorisation d’imprimer, mesures de bruit… Tous les domaines ont été explorés (gestion déchets, rejets air, eaux usées, stockage, foudre, risques pollution).

Ouest-France connaissait un grand retard : un gros investissement a donc été réalisé et le site du quotidien est maintenant classé « protection de l’environnement ». Tous les déchets sont récupérés, rien n’est envoyé dans les égouts.

Plaques d’aluminium pour l’impression Offset revendues pour recyclage. Produits de nettoyage triés et retraités. Utilisation d’encres Offset non volatiles.

Utilisation de 94,5% de papier recyclé. Recyclage des invendus.

6.2. – Infrastructure et logistique raisonnées ? : Oui

Au niveau des infrastructures, les bâtiments anciens du siège ne répondent pas aux normes HQE, en revanche les constructions récentes (rédaction de Nantes) ont fait l’objet d’une attention particulière aux normes environnementales même si elles n’atteignent pas la HQE.

Dans l’ensemble des rédactions, les installations comprennent des lampes basse consommation et des ballasts électroniques.

Le tri sélectif n’est pas encore étendu à toutes les rédactions décentralisées mais il est en cours. Le recyclage des cartouches d’encre est systématique.

Le journal est passé au café commerce équitable dans les distributeurs automatiques.

En termes d’attention à la réduction d’émissions polluantes, Ouest-France a fait réalisé un bilan carbone par un cabinet spécialisé selon les normes déterminées par l’ADEME. L’objectif de cette initiative était double : déterminer les principales raisons de production de GAES, puis cibler les possibilités de réduction.

Utilisation de voitures basse consommation d’énergie (incitation de la prime Grenelle). Essai non concluant de recours aux scooters électriques pour la distribution du journal.

Est actuellement en projet l’installation d’imprimeries numériques non polluantes qui permettraient de multiplier les zones de production et donc de réduire les déplacements nécessaires à la livraison.

Le journal mène également une politique de sensibilisation au co-voiturage.

6.3. – Choix des fournisseurs sur critères durables ? : Oui

En particulier pour les papeteries fournissant le papier à l’imprimerie.

7.1. – Quelles initiatives d’éducation aux médias ? : Nombreuses initiatives structurées

Le quotidien a mis en place un site consacré à la presse et aux jeunes : www.ouestfrance-ecole.com

Ouest-France est sans aucun doute le journal d’information français le plus avancé dans les démarches d’éducation aux médias, de liens entre la presse et de jeunes lecteurs.

Ainsi, le quotidien rennais propose son soutien pour monter un journal scolaire, des ateliers pratiques, des définitions sur le vocabulaire du journalisme, des formations au monde de la presse pour les enseignants, des exercices en ligne, des supports pédagogiques pour les professeurs, des reportages vidéos sur la vie du journal…

En moyenne chaque année, 10 000 jeunes visitent Ouest-France dans le cadre d’activités scolaires.

Des correspondants « jeunes » de quartier, de 16 à 25 ans, rédigent des papiers sur les jeunes. Ils se réunissent 2 fois par mois pour promouvoir des initiatives de jeunes et publier de 50 à 60 lignes dans les pages locales. Un système d’identification d’un journaliste référent par rédaction a été mis en place.

Depuis 2005, Ouest France offre chaque année trois prix de 1 000 euros aux meilleures contributions de jeunes dans toute la région et les articles sont publiés dans un cahier spécial.

7.2. – Quel soutien aux médias des pays émergents ? : Une politique de longue date

Ouest Fraternité est une association loi de 1901 créée en 1992 pour réunir les bonnes volontés du groupe Ouest-France autour de projets de solidarité favorisant le développement de la presse écrite dans les pays du Sud et les pays en voie de démocratisation.

Plus d’un millier de journalistes et techniciens ont bénéficié d’actions de formation ou d’évaluation au Congo, au Vietnam, au Niger, à Madagascar, au Kazakhstan, à Haïti, au Soudan, en Macédoine et en Arménie…

Le journal accueille aussi des stagiaires étrangers.

« Europe Presse Solidarité » est une autre initiative de formation professionnelle en Europe de l’Est.

8.1. – Quel engagement pour la formation continue ? : Un engagement fort

Ouest-France fait depuis longtemps de gros efforts en termes de formation continue, le double du minimum légal.

Aux piqûres de rappel sur les fondamentaux du métier s’ajoute depuis 20 ans un effort particulier et exponentiel sur la thématique de l’Europe et depuis 5 ans sur l’anglais (en permanence, 36 journalistes sont en formation d’anglais).

Une formation continue en interne a été mise en place depuis la création des « pôles de compétence », réseau informel de journalistes du siège ou de rédactions décentralisées sur des sujets larges : santé, éducation, environnement…

8.2. – Transparence des rémunérations ? : A peu de chose près

La grille de salaires est annuellement revisitée par des représentants de la DRH, des syndicats et de la rédaction en chef. Elle est connue et publique.

Aux mécanismes automatiques d’augmentation (changement de fonction, durée dans le poste) s’ajoutent les promotions individuelles qui sont moins transparentes mais restent marginales.

Il n’existe pas de prime individuelle.

8.3. – Quels bénéficiaires de la taxe d’apprentissage ? : Des centres de formation au journalisme

La taxe d’apprentissage est systématiquement versée à des centres de formation au journalisme, en fonction des rapports que le journal entretient avec eux (formation continue, stagiaires, recrutement…).

9.1. – Quelle prise en compte de la RSE ? : Une réelle sensibilisation

Aucun service ou personnel n’est chargé de la question du développement durable ou de la RSE, néanmoins plusieurs postes recouvrent, dans leurs activités, des préoccupations environnementales ou sociales (DRH, ingénieur en charge des bâtiments, directeur industriel, responsable du parc automobile…)

Un groupe de travail sur le bilan carbone est animé par un chargé de mission auprès de la Direction Générale.

La sensibilité à la problématique de l’entreprise citoyenne semble se propager, tout comme la conscience d’une anticipation nécessaire des futures règlementations.

La compilation de pratiques environnementales et de démarches responsables n’a toutefois pas encore pris la forme d’un engagement RSE.