Depuis 2004, la ZDF a ouvert un service qui veille à ce qu’il n’y ait pas d’influence indue des programmes, et surtout des jeux télévisés, sur l’indépendance de la rédaction (voir aussi communiqué de presse sur un cas récent : « stellungnahme-des-zdf-zu-den-spiegel-vorwuerfen »).

En cas de litige important, les directeurs délégués font les arbitrages. Et en dernier recours, c’est le PDG de la chaîne qui intervient.

Il est d’usage au Soir de négocier et de ne rien faire passer en force. Un vrai mécanisme d’échange entre le service publicité et la rédaction a progressivement été mis en place. Le directeur général est la personne décisionnaire au final.

La régie publicitaire ne peut pas du tout intervenir dans l’éditorial mais en cas de souci, ce serait à l’administrateur général de trancher le différent.

Certaines annonces passent par la rédaction pour approbation ; si elle oppose un veto à sa publication, le directeur tranche.

La décision de la publication ou non d’une publicité litigieuse est systématiquement prise par le rédacteur en chef après un échange avec le service commercial.

L’éditeur a toute autonomie de décision sur la publication ou non d’une publicité.

Il se réfère, le plus souvent, aux normes du Conseil National d’Autorèglementation Publicitaire.

Le directeur général décide après avoir consulté les 4 directions. Le processus de communication entre elles est très rapide.

Si toutefois un conflit advenait, il serait arbitré par le président administratif. Il faut rappeler que le risque de conflits est réduit puisque les deux tiers de la programmation (de 8h30 à 19h, considéré “horaire enfance”) sont interdits de publicité (sauf des campagnes institutionnelles).

Un conseil des directeurs des différents départements discute les situations de conflit. La rédaction n’a pas de pouvoir de veto mais elle peut donner son opinion. Le groupe Globo peut aussi imposer des règles aux départements commerciaux des chaînes affiliées.

In fine, le directeur du journal décidera de la publication ou non d’une publicité en cas de litige.

En cas de désaccord entre le directeur de contenus qui valide toute diffusion sur la station et le directeur commercial, c’est le directeur général qui prend la décision finale.

Radio du service public.

L’étanchéité entre la régie publicitaire et la rédaction est parfaite.

Il arrive que des annonceurs se plaignent auprès de la régie, de la rédaction, de la direction. La seule conséquence sera un éventuel retrait du budget par l’annonceur.

… Sans aucune hésitation.

« Quand on n’est pas d’accord, on le dit » : telle est la règle d’usage. De fait, la concertation est privilégiée, des réunions étant organisées régulièrement entre les responsables de la régie publicitaire et la direction de la rédaction, au siège comme dans les agences départementales. Les commerciaux n’ont pas de liens de subordination avec les directeurs de ces éditions départementales, mais, en cas de litige, ce sont ces derniers, représentant le directoire, qui tranchent.

Le rédacteur en chef et le directeur de publication prennent la décision en cas de litige tout en affichant une volonté de consensus. Ce qui est le cas la plupart du temps.

La direction de la rédaction peut refuser la publication d’une publicité. La direction générale n’intervient qu’en cas de conflit.

Par tradition, le président de la Société Des Rédacteurs est sollicité et donne son avis. Une discussion a lieu entre la rédaction et le service publicité, la direction générale tranche en cas de litige.

Le directeur de la publication décide en dernier lieu de la publication ou non d’une publicité.

Des conflits dans la rédaction peuvent effectivement survenir. Ce fut le cas pour une publicité du Front National qui a provoqué une grève des salariés, et a finalement été refusée.

La direction générale tranche en dernier recours, quand l’ensemble des services n’a pas réussi à trouver une position commune.

La rédaction en chef peut s’opposer à la parution d’une publicité. Elle supervise clairement l’ensemble du contenu du journal. Pour garantir que les valeurs humanistes du quotidien seront respectées, la rédaction veillera même au libellé des avis d’obsèques, dont le contenu pose régulièrement problème.

Lorsque le format d’une publicité ressemble trop à un format journalistique, une discussion est entamée avec la régie publicitaire. La négociation est toujours privilégiée.

Le directeur de la publication joue le rôle d’arbitre final.

C’est le président qui tranchera après avoir pris l’avis de la rédaction et de la régie publicitaire.

Le comité éditorial de BBC Worldwide (seule chaîne du groupe pouvant diffuser de la pub) prend les décisions concernant le choix des publicités. Le service du contrôle de la politique éditoriale de la BBC (« Editorial policy team ») est également consulté sur ces sujets.

En cas de litige, le rédacteur en chef peut toujours s’opposer à la publication d’une publicité.

En concertation avec la rédaction en chef.

Le directeur de l’entreprise tranche les conflits entre la direction de l’information et le service marketing.

L’Office Fédéral de la Communication (OFCOM) possède également un rôle de surveillance.