Le site de De Standaard ouvre dorénavant quelques articles aux commentaires ; leur nombre étant déterminé par la disponibilité de la rédaction à en assurer la modération.

Cette formule hybride est le résultat d’une expérience de commentaires libres menée dans un premier temps. La modération demandait trop de temps alors qu’elle était indispensable étant donné le caractère parfois agressif, grossier ou alors hors sujet, des commentaires.

La direction a alors temporairement fermé la section « commentaires » pour la rouvrir par la suite, à la demande pressante des internautes/lecteurs qui ont dénoncé « la censure » et réclamaient le droit de lire autre chose que des « avis de spécialistes ».

Deux « animateurs de communauté » modèrent les commentaires a posteriori. Toutefois une série de sujets considérés comme sensibles (immigration, conflit israélo-palestinien…) sont modérés a priori.

Des comptes d’utilisateurs peuvent être bloqués.

Des forums de discussion sur des thématiques liées à l’actualité sont ponctuellement ouverts puis fermés. Exemple : L’affaire DSK et le respect de la vie privée. Ces forums sont modérés a priori.

Pour les forums, la modération a priori est prise en charge par des journalistes du Soir.

Pour les commentaires, les trois premiers messages d’un internaute sont modérés a priori ; s’ils ont été approuvés, ses messages suivants seront modérés seulement a posteriori.

Les modérateurs se relaient en interne avec les éditeurs web pour assurer une modération entre 6h du matin et 1h le lendemain.

La modératrice est cependant rattachée à la rédaction en chef Internet.

Le journal n’a pas ouvert de forum mais des blogs sur son site où l’expression est très libre avec une simple supervision éditoriale.

Le journal n’organise pas de forum sur internet.

Le département Multimédia gère le Forum sur internet chaque soir, une demi-heure après la fin du journal télévisé « le journal de la culture ».

La présentatrice reste en ligne sur le web et répond aux questions des téléspectateurs. Une fois par semaine une spécialiste en questions sociales répond à l’ensemble des questions parvenues par Twitter, emails ou directement sur le forum internet.

Le site a été modifié en 2012 et ne comporte plus d’espace d’interaction avec les internautes.

Les débats avec le public suivent plusieurs modèles : soit par des « entretiens numériques » où les échanges entre les citoyens et le quotidien se font par questions/réponses via le web ; soit par les blogs des journalistes et il revient à chacun de ces derniers de choisir d’ouvrir leur espace aux commentaires ou non et de choisir une modération a priori ou a posteriori.

Tous les usagers peuvent participer à la trentaine de forums disponibles sur lavanguardia.com. Certains d’entre eux existent déjà depuis plus de dix ans et la plupart sont une belle vitrine de l’évolution de l’opinion publique sur les thèmes généraux tels que la politique espagnole ou catalane.

Tous les forums sont modérés par l’équipe rédactionnelle de l’édition numérique de La Vanguardia, composée de journalistes. Leur intervention consiste à réorienter le débat dès que nécessaire et d’introduire de nouveaux thèmes de discussion.

Lavanguardia.com s’est, de plus, doté d’un « Parrain du Forum », simple lecteur qui tient le rôle de modérateur et le dynamise. Ce « Parrain » est reconnu par l’équipe rédactionnelle et est d’une aide précieuse pour gérer le débat, faire un suivi plus approfondi et également alerter quand un internaute transgresse les normes de participation. Cette figure fut créée en 2007 et de nombreuses études universitaires ont montré qu’il s’agit d’une démarche pionnière dans le monde de la presse numérique.

La rédaction de Barcelone gère de nombreux forums sur son site web.

Des situations difficiles à gérer surviennent parfois,- comme par exemple le harcèlement d’un(e) journaliste - qui contraint le directeur des contenus à entrer en contact avec l’auteur des messages puis de les supprimer.

Le fait qu’un salarié se consacre à temps complet à la modération a posteriori, permet une gestion très rapide des commentaires postés sur le site.

Tout ce qui concerne internet est géré par une entité externé à TVE mais intégrée au Groupe RTVE. Il s’agit de iRTVE.es qui dispose de son propre organigramme. Cet organisme travaille en lien avec TVE et RNE (Radio Nationale) pour offrir des contenus aux deux médias.

La station de radio a mis en place un « système d’alerte ». Il est possible et facile d’envoyer un mail au webmaster quand un internaute estime qu’un commentaire en ligne pose question en termes de « légalité » ou d’atteinte à des « droits privés ».

Pas de forum mais la possibilité de poster des commentaires.

Deux niveaux de modération a posteriori existent à France 24. Le premier est réalisé par une société externe qui ne s’intéresse pas au sens des messages mais filtre les contenus insultants ou les appels à la haine raciale. Le second niveau implique la rédactrice en chef web, les journalistes ayant rédigé les articles concernés et les secrétaires de rédaction. Les internautes disposent d’un bouton d’alerte et peuvent aussi envoyer un message pour signaler les contenus inadéquats. Ils seront alors supprimer partiellement ou complètement et l’auteur en sera informé.

Sur les sujets polémiques comme les conflits interethniques, aucun commentaire n’est plus possible.

C’est la société externe qui modère a posteriori les réseaux sociaux pour lesquels deux « community manager » agissent, l’un pour le français et l’anglais, l’autre pour la langue arabe.

Pas de forums stricto sensu sur Radio France. Mais tous les espaces contributifs, y compris « Espace Public », le site du médiateur, sont modérés a priori.

Les commentaires sont maintenant possibles. La modération est réalisée en interne par le journaliste ayant rédigé l’article concerné, ou par l’équipe du courrier des lecteurs.

Les journalistes du web se relaient pour assurer une modération a priori des commentaires et forums.

Le webmaster du site joue le rôle de modérateur. Il intervient avant la publication des commentaires.

Peu de forums sur le site internet, même si la direction et la rédaction en chef souhaiteraient qu’il y en ait davantage. Actuellement, les commentaires sont modérés de façon très souple. Une petite cellule, basée au siège, s’en occupe.

Les journalistes web du titre se relaient pour prendre en charge l’animation des réseaux sociaux et la modération des commentaires et forums.

La modération répond à une charte adaptée par le journal. En cas de doute sur le contenu d’un commentaire, la société externe prend l’avis d’un journaliste de la rédaction.

Les journalistes du service web gèrent la page Facebook et ses commentaires.

Deux modérateurs externes au Figaro se relaient dans la rédaction de 9h à 22h. En cas de doute sur le contenu d’un commentaire, ils échangent avec l’équipe « Social Media » du figaro.fr.

Seuls les abonnés « Sélect » bénéficient d’une publication immédiate de leurs commentaires et donc d’une modération a posteriori.

Le site est modéré a priori et par des journalistes.

Sur les blogs et les pages Facebook en revanche, un premier filtrage est réalisé par une société externe, a posteriori. Dans un deuxième temps, l’auteur du blog modère lui-même les commentaires.

La modération a priori est confiée à une société externe qui respecte une charte rédigée par les équipes du Parisien.

Depuis juin 2012, la nouvelle organisation permet aux journalistes eux-mêmes de répondre aux commentaires faits sur leurs articles.

Les journalistes du web se relaient pour assurer une modération a priori des commentaires et forums.

Après deux signalements, un commentaire litigieux est supprimé par des modérateurs externes.

Les journalistes ont aussi la possibilité de supprimer les commentaires directement.

Le filtrage des commentaires se fait avant leur mise en ligne pour les articles et une demi-heure après leur mise en ligne pour les blogs.

Jusqu’en juillet 2011, les journalistes de la rédaction Internet modéraient les forums. Face à l’augmentation importante du nombre de commentaires, la modération est désormais confiée à une société spécialisée.

L’inscription au forum nécessite l’engagement à respecter la charte Internet proposée par le prestataire de modération et amendée par le Groupe Sud Ouest.

La modération est réalisée a posteriori.

La rédaction Internet ou le médiateur peuvent répondre aux commentaires. Aucun « animateur de communauté » n’intervient, c’est l’ensemble des journalistes qui peuvent être sollicités.

Forum Facebook géré par le webmaster.

La modération est confiée à une société externe, elle se fait a priori et selon une charte amendée par TF1 pour respecter des critères éthiques.

Les forums et les commentaires sont modérés a priori par une équipe en interne.

La rédaction travaille à la fois pour le papier et pour le web, elle possède des « community managers » non journalistes pour chaque pôle thématique.

Sur certains sujets sensibles, les commentaires sont interdits ou modérés a priori. Pour le reste, ils sont modérés a posteriori.

Les forums ne sont pas en activité pour l’instant.

Jamais permanents, les forums sont ouverts ponctuellement sur une thématique précise. Ils sont alors modérés a posteriori et par un journaliste du Temps.

Tous les forums sont modérés : parfois par les producteurs et les journalistes du programme, parfois par des « web-éditeurs », journalistes eux aussi.